Un plaisir gustatif, tactile, odorant, la confection et la dégustation de sushis me met à chaque fois en « mode éveil ».
C’est la recherche de la qualité à chaque stade, de l’achat à la préparation, car tout se révèle, s’exacerbe, dans le produit final.
Aujourd’hui, c’était juste « pas mal » mais je ferai mieux la prochaine fois. Le jardin est long à modeler.
En tout état de cause, le Riesling Pfersigberg 2005 d’Hervé LICHTLE fait lui figure de roc au milieu du paysage zen, il est sûr de sa puissance, il dégage. Magnifique vin qui enrobe la complexité de saveurs et d’arômes des sushis.
Le Nigiri Gamba
L’assiette, avec les premiers camélias blancs de l’année